Fatmagül – Episode 144

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Fatmagül – Episode 144

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Fatmagül arrive avec le panier de déjeuner pour Kerim et Rahmi, qui travaillent pour leur future maison. Ils mangeront tous ensemble dans le jardin. Elle s’approche pour voir si les travaux avancent. Kerim lui dit: « Salut mon amour » « tu vas bien ? » lui répond Fatmagül. Elle est radieuse en l’entendant puis un voile d’ombre passe sur son regard qui ne lui échappe pas, il lui demande « Qu’est-ce qu’il y a Fatmagül, dis-moi la vérité », Mais Fatmagül lui dit que non tout va bien.

Erdogan et Selim ainsi que Ayse travaillent dans un restaurant pour gagner un peu d’argent. Un jeune homme essaie de draguer Ayse et ça l’énerve. Erdogan s’en prend au dragueur mais elle se fâche, elle est assez grande pour se défendre toute seule et n’a pas besoin de chaperon. Il se l’est tenu pour dit. Erdogan n’a qu’une idée gagner assez de fric pour se rendre aux Etats Unis. Selim lui a simplement envie de rester là, de pas aller trop loin, Erdogan fait l’effronté, ils essaient de créer leur avenir en rêvant à un futur plus glorieux.

Kadir et Fahrettin sont sur la bonne voie. Ils savent déjà que le père de la jeune fille qui les a aidés à s’enfuir, est visiblement en prison. Et elle est sûrement encore avec les deux fuyards.

Fatmagül a pris un large pinceau pour aider à peindre, mais Kerim amusé vient mettre sa main sur la sienne pour la guider. Il est heureux de la sentir si proche de lui, ça le trouble et il adore ça. Son sourire en est la preuve.

Rahmi tient sa petite Elif que Mukaddes vient de lui amener. Elle est venue dire des méchancetés comme d’habitude constamment habitée par un sentiment de jalousie pour Fatmagül que tout le monde chéri beaucoup trop à son goût. Elle ne peut pas s’empêcher de leur dire qu’ils ont choisi exprès une maison plus petite pour qu’il n’y ait pas de place pour eux. Mais de toute façon c’est trop moche pour elle, elle ne veut pas habiter dans cette masure. Elle dit avoir tant sacrifié pour elle, pour Rahmi, elle n’a même pas eu sa propre maison . Fatmagül ne réplique pas.

Kerim et Rahmi continuent de s’affairer avec application. Rahmi cherche le journal, il a cru avoir vu un article sur Munir, il dit à Kerim regarde ça, il continue de dire que nous avons menti, alors que c’est lui le menteur !

Lale est déjà avec Resat et lui annonce tous ses plans. Mais Resat lui dit qu’il ne comprend pas trop ce qu’elle raconte. Il n’est pas d’accord sur ce contrat signé sans son aval, Munir et elle semblent avoir pris des dispositions sans lui qui ne sont pas très fiables. Et il ne reconnaît aucune des signatures sur le contrat, il n’est pas dupe, les affaires ça le connaît. Elle voit que son piège ne passe pas aussi facilement qu’elle l’aurait cru et se ravise en disant que tout est bien carré. Mais le caractère dominant de Resat lui barrera la route car il connaît trop bien les ruses des créanciers et veut s’assurer que les sociétés qui sont supposées les aider à refaire surface ne sont pas fictives. Personne ne lui a demandé son avis et il sent qu’il va se faire manipuler, Munir n’est pas fiable, il sait de quoi il est capable.

Fatmagül est sur un nuage. Elle a cependant très envie de dire à Meryem que Mustafa lui a écrit mais elle ne l’a pas lue, elle l’a jetée sans la lire, elle ne peut donc pas lui en dire le contenu . Mais Meryem voit qu’un voile se glisse sur son regard et assombrit son visage.

Lale un mari paralysé auquel elle parle, puis elle le laisse seul, mais que tout sera bientôt terminé.

Perihan et Resat divorcent officiellement, les papiers sont dans les mains de Munir qui s’applique à faire respecter la loi. Munir dit que les parts qu’elle a dans l’entreprise ne l’intéressent pas du tout, elle veut juste récupérer l’argent que son père a mis dans ses biens. La mère de Erdogan insiste pour que l’héritage de son père soit préservé , même s’il est à l’étranger, cette part lui revient de droit. Perihan dit que tout le monde aura ce qu’il mérite et ils reviendront par la force des choses car ils seront arrêtés et paieront pour leur faute.

Fatmagül proche de Kerim lui dit qu’il sent très bon et Kerim dit la même chose pour elle, il lui dit qu’elle sent toujours bon. Ils vont choisir ensemble de belles choses pour leur maison qui sera toute dans les tons bleus et blanc car Fatmagül adore la couleur bleue, comme le ciel, comme la mer. Mais Kerim lui glisse dans le creux de l’oreille qu’il veut y aller seul avec elle, il n’a pas envie que quelqu’un d’autre vienne choisir avec eux.

Emre arrive pour une visite, il marche avec peine. Il a été blessé lors d’une opération, une fusillade, un combat. Kerim regarde Emre avec compassion, ça lui fait de la peine de voir son ami avec une jambe abîmée. Il raconte son accident et dit qu’il n’est pas facile d’être au front, mais il a hâte de guérir pour rejoindre ses compagnons, il a accepté tous les combats. Emre a su que Mustafa avait tiré sur Kerim, et il trouve cela bien ingrat. Kerim ne mérite pas une balle, c’est injuste. Il faut que la date du mariage soit décidée, Kerim dit qu’ils ne savent pas encore mais au début du mois de mai lui semble être un bon choix. C’est décidé ce sera début mai.

Kerim apprend à Fatmagül à conduire sur la plage. Il est si heureux de voir leur vie prendre un virage vers le bonheur à deux. Il s’arrête et lui demande : « Fatmagul j’ai une question à te poser. Est-ce que tu veux bien te remarier avec moi ? » Et Fatmagul radieuse lui répond oui avec un grand sourire ce qui comble Kerim de bonheur.

Kadir veut donner un coup de main au restaurant mais Meriem refuse qu’il utilise son bras en écharpe.

Le facteur apporte un plein panier de courrier pour Fatmagül et Mukaddes s’empresse de regarder qui lui écrit autant. Elle voit une lettre de Mustafa qui a écrit l’expéditeur devant l’enveloppe, sans doute pour qu’il n’échappe pas à la censure de la prison. Elle glisse la lettre dans son corsage et prétextant une sortie pour promener Elif, elle ira lire tranquillement ce courrier qui l’intrigue. Assise sur un banc elle ouvre l’enveloppe de la lettre qui ne lui est pas adressée sans aucun scrupule. Une autre lettre d’amour brûlant la fait frissonner . Elle pleure en lisant les mots d’amour désespéré de Mustafa. Elle a pitié de lui surtout de sa grande solitude dans un lieu si sordide, une prison, pauvre garçon ! Elle relit et pleure en se disant : « Fatmagül pourquoi tout le monde t’aime autant ? ».

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