Fatmagul lit la lettre de Kerim dans le taxi. Elle ne peut pas retenir ses larmes, Kadir qui la regarde dans le rétroviseur, à de la peine pour elle.
Quand ils s’arrêtent à une station, kadir propose à Fatmagül d’aller se rafraîchir le visage, Le père de Mustafa l’aperçoit, puis sa mère vient dans les toilettes des dames. Elle lui dit qu’elle reconnaît avoir mal agi, qu’elle aurait du la soutenir au lieu de la condamner et ne pas influencer son fils pour qu’il l’abandonne. Elle porte en elle le poids de cette culpabilité. Mais Fatmagül a une réaction à laquelle elle ne s’attendait pas, elle lui affiche son bonheur dans la figure en lui disant que finalement ils lui ont rendu un grand service, qu’elle leur accorde sa bénédiction volontiers.
Ebe Nine appelle Kadir pour savoir comment ils ont trouvé Kerim et se sent rassurer quand elle sait qu’il allait bien.
Tandis qu’elle nettoie à fond le restaurant avant de réouvrir Ebe Nine voit un jeune homme à la porte, il demande s’ils ont besoin de quelqu’un, il cherche un travail pour payer ses études, son père est malade et il ne veut rien lui demander, au bout d’un moment de dialogue avec ce jeune homme elle lui demande son prénom et lui dit que dans un premier temps il peut l’aider, elle n’a personne en ce moment. Le jeune homme s’appelle Mehmet et la remercie beaucoup. Elle lui demande d’abord s’il a mangé. Le courant est passé, elle a écouté son coeur.
Mukaddes est à un examen prénatal, Rahmi est près d’elle. Elle demande au médecin si elle a les résultats des tests ADN, et une fois l’examen fini elle regarde son son ordinateur pour voir si les résultats sont là. Elle annonce qu’ils sont bons à 99,99% ce qui attribue bien la paternité à Rahmi. Rahmi est très content, il pleure d’émotion, cette fois ce sera bien son enfant.
Resat appelle Munir pour savoir comment les affaires évolues, mais les nouvelles ne sont pas bonnes, il n’a pas trouvé le soutien qu’il espérait de la Roumanie. Tous leurs biens vont devoir être vendus au rabais.
Mustafa et Asude sont dans un lit enlacés. Elle lui dit qu’il est comme la mer, tantôt agité, tantôt calme. Quand Asude va prendre une douche Mustafa appelle Meltem, elle lui dit qu’elle a passé une matinée horrible, elle lui dit que sa famille est au courant pour lui. Elle ne veut plus le voir, c’est terminé.
A la prison Kerim joue avec la fleur brodée entre ses doigts en pensant à Fatmagul. Il regarde la plante et relit encore sa lettre provoquant encore la risée de ses compagnons de cellule. Ses pensées sont emplies de toutes les émotions qu’il a ressenties en présence de Fatmagül, l’odeur de ses cheveux sur le bateau quand le vent les lui apportait sur son visage, ses mains dans les siennes pour la première danse, chaque proximité avec elle est gravée dans sa mémoire et les images lui reviennent comme un havre de douceur et de doux bonheur.
Un détenu vient près de lui et lui dit: » Toi tu as des problèmes avec les Yasaran« . Kerim lui demande comment il le sait, il ne dit pas, et quand il lui dit qu’ils vont le transférer dans une autre prison il insiste pour savoir comment il le sait, mais l’homme ne révèle rien. Kerim dit que de toute façon il ne va pas rester car il est innocent. Il lui montre quelqu’un qui est en promenade et lui dit : » Tu vois lui là, avec la chemise bleue, il est innocent, mais il est là depuis huit ans« .
Ömer appelle Kadir pour lui annoncer que le résultat sur la scène de crime rapporte qu’il y a l’empreinte des pas d’une troisième personne! Ce qui ravit Fatmagül et Kadir qui voient là un espoir pour sortir Kerim de cette impasse. Fatmagül est pleine d’espoir, comme elle l’a dit à Kerim, « Il y a toujours de l’espoir« .
Asude aime être en couple avec Mustafa, elle fait la cuisine, se plaît en maîtresse de maison.
Mustafa refuse de répondre à un ami qui l’appelle sur son téléphone, Asude ne comprend pas pourquoi, elle l’incite à répondre, il dit à cet ami qu’ils peuvent se voir ce soir chez lui et l’invite à dîner. Asude est contente de cuisiner pour leur premier invité.
Erdogan vient sonner chez Selim, il est allongé au soleil dans son jardin. Il n’a pas envie de parler. Il dit qu’il est en colère, qu’il est fou de rage contre Meltem. Erdogan lui dit qu’il a un plan pour tous les venger.
Leman est toujours dans ses délires, elle ne comprend pas pourquoi Vural n’est pas avec Selim et Erdogan dans le jardin, surtout pourquoi elle arrive à vivre sans lui, elle vit mais sans son fils et cela lui est insupportable. Elle voudrait le rejoindre. Perihan lui dit qu’elle doit voir un professionnel. Elle a hâte que le meurtrier soit lourdement condamné. Perihan lui dit qu’elle la préviendra quand le procès sera programmé. Elle se sent trop fatiguée et se couche. Elle n’arrive même pas à se nourrir.
Ömer fait à Kadir un plan de l’endroit où Kerim a afronté Vural, et leurs conclusions sont très proches de la vérité. Ils analyses toute la situation, et s’apprchent réellement des faits. Ils pensent déjà que le troisième homme est venu par la mer, donc en bateau, ce qui n’est pas anodin. Ils vont continuer à mener une enquête minutieuse.
Mustafa est avec son ami Serdar, il lui dit: » Tu as une belle vie ici, un bel appartement« , Mustafa dit qu’il n’est pas à lui, il le loue! Son ami dévoile des choses que Mustafa aimerait taire. Asude dit à Serdar que Mustafa l’apprécie beaucoup, c’est réciproque. Mais Serdar en dit trop et Mustafa est de plus en plus mal à l’aise ce qui n’échappe pas à Asude.
Ömer va dire à Kerim qu’il y a des pas qui ne correspondent pas aux siens sur le lieu du meurtre. Donc les avocats en concluent que Kerim n’était pas seul.
Les co-détenus voient la détresse de Kerim mais ne savent pas quoi faire pour lui, un des leurs travaillent pour les Yasaran c’est certain mais celui qui est venu le voir en premier le met en garde, il lui dit de ne pas le chercher querelle.
Ebe Nine chantonne dans la cuisine et Kadir est heureux. Il dit aimer les voix dans cette maison et surtout le chant d’une femme.
Mukaddes vient les troubler. Elle s’amène avec la preuve que son bébé est bien celui de Rahmi croyant ainsi se racheter aux yeux de tote la famille. Mais Fatmagul a la rancune tenace et elle l’accuse de l’avoir poignardée dans la dos. Rahmi dit que quand Kerim sera de retour ils s’en iront vivre ailleurs. Mukaddes dit qu’elle va mourir comme cela ce sera une libération pour tout le monde. Rahmi la dissuade de dramatiser en disant : « N’en fait pas tout un plat » et de ne pas en vouloir à Fatmagul, mais elle a le sentiment que personne ne lui pardonne son écart de conduite.
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