Alors que Hüsseyin reste introuvable, Ömer fait pression sur Ali pour obtenir des informations et se met à la recherche d’indices.
L’interrogatoire de Fatih est toujours en cours. Nilufer demande à Pelin si elle peut voir Fatih mais c’est impossible. Il a trop de charges contre lui. Il y a des preuves qu’il a tiré sur son père. Les caméras l’ont enregistré. Fatih doit être amené devant le juge. Elif tente de comprendre et vérifier si vraiment Fatih a aidé Ömer comme il lui a dit mais Pelin lui répond qu’elle ne sait pas. Elle lui demande de ramener Nilufer et de rentrer chez elle. Ömer lui donnera des explications. Elle a compris que quelque chose ne va pas !
Ömer et Arda arrivent dans le parking. Arda l’informe qu’Elif est au commissariat et qu’elle le cherche partout. A-t-il l’intention de lui parler ou l’éviter ? Ömer n’arrive déjà pas à y croire. Il ne veut pas lui briser le cœur, il attendra d’arrêter son frère pour tout l’avouer. Pour l’instant il a besoin de trouver le véhicule. Ça y est ! il le retrouve ainsi qu’un portable. Le dernier appel était pour Svetlana mais il a effacé tous les textos. Ömer continue de fouiller de fond en comble. Il retrouve le portefeuille de son frère avec tous ses papiers. Ça veut dire qu’Hüsseyin n’a pas encore quitté le pays. Il a besoin des fausses identités et les faux papiers prennent du temps à faire. Ils essaient de trouver d’autres pistes comme trouver les caméras. Arda demandera à Pelin d’envoyer la photo d’hüsseyin aux frontières. Ils ont une chance que Tayyar soit blessé. Ça ralentirait leurs plans ! Ömer reste persuader de l’avoir !
Hüsseyin apprend que Tayyar s’est fait tirer dessus. Donc ses affaires prendront du retard.
Ömer décide d’aller interroger le chef Ali. Arda et Pelin ont de la peine pour Ömer qui traverse une période très difficile de sa vie.
Où Tayyar a pu bien cacher son frère ? Ömer demande au chef Ali de lui répondre. Ce dernier ne dit toujours rien malgré les menaces d’Ömer qui n’en peut plus. Ses nerfs sont à vifs. Alors Ali lui dit qu’il aurait dû rester à Van comme il le lui a conseillé au départ. Maintenant sa famille est détruite. Il lui demande si la justice passe avant sa famille ? « Où est mon frère » lui crie-t-il.
Hüsseyin se cache toujours dans une chambre d’hôtel. Il regarde les infos et pas de nouvelle sur Tayyar Dundar. Il pense que les hommes de Tayyar se moquent de lui . Il ne leur fait pas confiance. Un des hommes le rassure en lui disant qu’il est bien à l’hôpital et attendent des nouvelles pour le plan.
Elif est toujours aussi inquiète de ne pas avoir des nouvelles de Ömer. Elle tente de le rappeler mais Ömer ne veut toujours pas répondre tellement il est bouleversé. Il repense aux bons moments passé avec son frère qui lui a menti.
Le lendemain, Ömer décide de fouiller sa propre maison à la recherche des preuves.
Nedret est inquiète pour les préparations du mariage qui doit avoir lieu le lendemain mais Elif est trop préoccupée et laisse ce souci à sa tante et Asli. Elle va voir Ömer.
De son côté, Ömer demande à Melike où Hüsseyin garde ses papiers. Sa mère est en panique. Melike veut aussi savoir ce qu’il se passe. Ömer leur dit seulement qu’Hüsseyin a commis des actes illégaux. Il n’a pas le courage de leur en dire plus. Il les prend tous les deux dans ses bras et leur demande de l’avertir s’il appelle. Les fouilles continuent devant toute la famille désappointée.
Ömer cherche en vain l’arme du crime. Melike sent que quelque chose de plus grave est arrivé mais Ömer refuse de lui en parler. Il a de la peine pour sa famille surtout pour sa mère qui lui demande de retrouver son frère avant qu’il ne fasse d’autres erreurs. Il a un très lourd fardeau à porter !! Fatma doit les suivre au poste. Ils ont des questions à lui poser. Inquiète, elle se demande pourquoi elle doit les suivre ! Elle est loin de douter que sa fille Hatice a été arrêtée.
Elif est là et pose des questions à Arda. Elle cherche toujours la réponse à cette fameuse question. Comment Fatih a pu aider Ömer ? Hüsseyin est-il impliqué dans les meurtres ? Arda ne peut rien dire. Fatma se trouve non loin d’eux. Pelin demande à Fatma de rentrer dans la voiture. Elif se retourne et voit arriver Ömer. Il la serre fort dans ses bras. Elle est désolée pour lui. Si seulement c’était un horrible cauchemar ! Elif propose à Ömer de reporter le mariage mais Ömer est si perturbé, il ne lui répond pas. Il a besoin de se rendre au poste pour interroger Fatma. Dans la voiture, Ömer a les larmes aux yeux.
Demet informe Mert que son père est en fuite et inculpé dans des affaires à cause de Tayyar. Mert veut venir la voir mais elle lui annonce que son père est à l’hôpital et qu’on lui a tiré dessus.
Nilüfer rejoint Fatih au palais de justice pour le soutenir et lui dire qu’ils se battront ensemble pour qu’il soit acquitté.
Une fois au poste, Hatice demande à Ömer de l’excuser. Elle l’a fait uniquement pour payer ses études. Fatma en pleurs, en prend toute la responsabilité. Ömer leur dit qu’elle fera de la prison le temps du procès, elle doit s’estimer heureuse car elle est vivante et pas Sibel. Fatma demande alors si c’est Tayyar ou Ali qui a tué sa fille ? Ömer est tellement honteux qu’il préfère quitter la pièce et laisse Fatma dans le désarroi.
Elif arrive dans sa nouvelle maison accompagnée de sa tante, Asli et la décoratrice. Ömer ne pourra pas venir dit-elle à Elif déçue. La maison meublée est magnifique mais Nedret regarde sa nièce qui a le regard malheureux. Elle lui demande pourquoi Ömer n’est pas là. Ce n’est pas son genre. Elif décide de lui avouer pour Husseyin. Qu’il est recherché par la police.
Hüsseyin devient paranoïaque et frappe avec une bouteille l’un des gardes et s’enfuit. Il pense que Tayyar veut le tuer.
Nedret profite de l’occasion de persuader Eilf de ne pas épouser le frère d’un bandit. Elif la rappelle que son père était également un criminel. Elle épousera Ömer demain quoi qu’il arrive et demande à sa tante de ne plus intervenir dans sa vie ! Mais Nedret insiste. Elle prévient sa nièce qu’aujourd’hui elle est tout pour elle, et ce mariage elle s’y oppose. Au même moment arrive mère Elvan !
Remerciements: Carole d’Asta
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