Lodos se laisse volontiers caresser par Fatmagül, Kerim se sent un peu délaisser, il décide d’aller couper du bois pour demain matin, Lodos le suit. Fatmagül lui dit qu’elle va se coucher, elle va d’abord dans la salle de bain. De sa chambre, elle aperçoit Kerim qui coupe le bois, Elle ne ferme pas sa porte à clé. Kerim prend une brassée de bois et reste assis sur le banc dehors.
Fatmagül se couche, Lodos est derrière sa porte, elle va l’ouvrir, la chienne monte dans son lit. Elle promet à la chienne de retrouver son maître.
Kerim n’est pas couché, il ne trouve pas le sommeil. Fatmagül va le voir. Kerim lui demande si elle n’arrive pas à dormir. Elle lui répond qu’elle dormais mais la chienne l’a réveillée, elle voulait absolument rentrer dans la chambre avec elle. Kerim dit avoir trouvé un truc à lire. Il demande à Fatmagül si elle aime la poésie, il lui lit à haute voix une jolie poésie “« J’écoute Istanbul » du poète populaire, Orhan Veli. (Si vous voulez la traduction de cette belle poésie, cliquez le lien suivant:
Kerim espère toujours un rapprochement physique mais Fatmagül garde sa réserve, elle ne se libère pas encore de ses frayeurs.
Le matin Lodos jappe et réveille Fatmagül, elle avait fermé la porte à clé. Elle dit ça pour que Kerim ne pense pas qu’elle a peur de lui. La chienne sautait sur sa porte et l’empêchait de dormir, elle l’a fait sortir….Kerim se retient mais c’est dur pour lui, il ne le dit pas mais ça se devine par ses gestes.
Ebe Nine est sûre que Mukaddes à dit à Sinem que la femme de Mustafa est une ancienne prostituée car elle lit un article sur elle dans le journal. Elle le dit à Mukaddes avec colère et Kadir s’y met aussi.
La mère de Mustafa voit la peine d’Acer, elle essaie de la réconforter et jette les morceaux de journaux qu’elle a déchirés.
Ender dit à sa fille qu’elle est allée parler à la femme qui a piégé son père. Et Meltem apprend que sa mère a aussi demandé de l’aide à Mustafa.
Kadir reçoit un appel de Meltem. Il lui parle de l’appel de Yadigar. Elle est certaine que cette femme sait quelque chose cela ne fait aucun doute.
Fatmagül avoue à Kerim qu’elle a fermé sa porte à clé mais ce n’est pas par manque de confiance en lui. le plus important pour Kerim, c’est qu’elle se sente à l’aise. Il est vraiment très patient avec Fatmagül.
Kadir appelle Yadigar, mais elle dit qu’elle ne sait rien. Si elle disait quelque chose ça aiderait beaucoup Fatmagül. Il lui dit qu’il vient la voir chez elle. Mais voilà que Yasar vient à elle, et elle sent bien qu’elle est surveillée. Elle a la certitude que les Yasaran la font suivre.
Kerim et Fatmagul se rendent au village avec la chienne dans l’espoir de retrouver son maître.
Yasemin accepte de recevoir Mustafa. Elle le reconnait, elle l’a vu dans le journal. Mais quand il lui parle des Yasaran, elle veut le chasser. Elle jure de n’avoir rien à voir avec eux. Elle ne semble pas le croire. Il la supplie de l’aider pour détruire les Yasaran. Elle lui avoue que lorsqu’ils l’ont engagée elle a enregistré, mais que pour avoir la bande ça va lui coûter très cher.
Kadir va sonner chez Yadigar. Elle dit qu’elle ne peut pas lui dire des choses de ses employeurs. Elle raconte qu’elle a élevé les deux cousins, elle les connaît par coeur. Il n’y a pas de méchant dans cette famille. Kadir lui rend la balle, elle fait aussi fausse route.
Resat était caché chez Yadigar, il lui a dit que tout ce qu’elle avait dit à Kadir était très bien. On comprend mieux son attitude. Kadir a appelé Ebe Nine pour lui dire que la femme n’avait rien dit. Resat dit à Yadigar : » Je suis ta retraite, ton assurance vie, et le gage que tu vivras bien comme tu l’as toujours souhaité. »
Kerim et Fatmagül ont enfin trouvé le maître de Lodos, alias Barbie. Ils se sentent un peu orphelin sans la chienne, ils s’étaient déjà habitués à elle. Fatmagül en rentrant à la maison dit que « Lodos » lui allait bien mieux. Barbie ce n’est pas beau.
Fatmagül ne se rend pas compte qu’elle blesse kerim quand elle lui a dit « maintenant on est tout seuls » comme si eux deux n’étaient pas suffisant.
Mustafa entre en trombe chez Resat et lui fait écouter la bande qui l’accuse d’avoir engagé Yasemin pour piéger Turaner.
Un peu plus tard dans la soirée, Fatmagül est assise sur le banc dehors, elle est rêveuse en regardant le ciel, Elle sourit. Quand elle voit Kerim elle lui dit qu’il peut venir s’asseoir près d’elle. Il se sent bien devant ce feu, Fatmagül à ses côtés. Fatmagül se sent aussi bien, Elle lui dit: “ Je sens l’odeur du bois et de la terre, parfois j’entends les oiseaux chantés au crépuscule, et je les écoute, j’écoute le bruit de la forêt...” et finit par lire la fameuse poésie “J’écoute Istanbul”. Kerim prend sa main, la pose sur son coeur, le sourire aux lèvres. Il se rapproche de Fatmagül, pose doucement ses lèvres sur cette bouche offerte comme une rose offrirait son parfum, la poésie les a enfin réunis. (L’épisode prend fin sur cette note, le tout premier baiser de Kerim à Fatmagül).
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