Fatmagül – Episode 113

Mustafa se confie à Acer: “Voilà c’est ça qu’ils voulaient, un affrontement entre les deux familles, la famille de Fatmagül a tout l’air d’être coupable, Erdogan va dire qu’il ne faisait que passait à tout hasard, il y a aucune preuve du contraire”. Acer lui demande: “Et toi?” . Mustafa est persuadé que Resat va sûrement vouloir se débarrasser de lui, Il ne lui reste qu’une chose à faire, s’enfuir, s’il pouvait partir loin il emmènerait Acer avec lui. Ils ont détruit sa vie. Acer va prendre ses vitamines et la mère de Mustafa croit qu’Acer parle d’elle dans son dos.

Munir veut faire boucler Rahmi. Rahmi dit à Mukaddes de prendre soin de ses enfants. Kerim s’accuse d’être responsable d’avoir laissé Fatmagül seule et Mukaddes se venge de lui en disant: “Tu aurais été capable de faire ce qu’à fait Rahmi ou tu serais encore rester à regarder sans rien faire?”. Ebe Nine est outrée d’entendre ça. Elle dit à Mukaddes qu’elle n’est pas la seule à souffrir de ces histoires. Kerim lui dit “ça suffit!” Rahmi pleure, il a l’air si malheureux.

Mukaddes s’en prend à Fatmagül, elle lui dit: “ Tu vas arrêter de nous causer des problèmes hein, tout ça c’est de ta faute!”, Munir écoute et rit de les voir s’affronter.

Une collègue de Nil vient lui dire qu’Erdogan a été hospitalisé, que quelqu’un l’a violemment agressé. Nil vient aux nouvelles, elle demande où il est. Resat profite pour exagérer le cas d’Erdogan, pendant ce temps ce dernier est conduit en salle opératoire. Erdogan reste les yeux clos comme le lui a demandé Resat. Sa mère pleure, elle n’a plus que lui.

Rahmi est devant le procureur, il raconte avec ses mots naïfs. Kerim et Fatmagül sont dans le couloir, Munir est en face d’eux et les regarde rigolant d’un air cynique. Après avoir appris la nouvelle, Sinem vient voir Fatmagül à L’hôpital mais elle n’a pas la force de lui raconter ce qui s’est passé, elle le ferait plus tard. Munir leur dit qu’ils sont coincés, qu’ils n’ont aucune issue. Il en profite pour les accabler davantage.

Rahmi est convoqué pour une analyse psychiatrique car le procureur veut savoir s’il est responsable de ses actes.

Fatmagül dit à Kerim qu’elle a fait du mal à son frère, elle s’en veut. Munir reçoit un appel et prononce le mot  » décédé » ils croient tous les deux qu’ Erdogan est décédé. Mais il s’agit de Leman, elle s’est jetée par la fenêtre , c’est elle qui est morte, pas Erdogan.

Fatmagül prie Dieu pour que Erdogan ne meurt pas, pour que Rahmi ne passe pas sa vie en prison. Kerim est en colère et dit qu’il voudrait tous les étrangler, mais Fatmagül lui dit de ne pas parler comme ça, il lui fait peur. Kerim essaie de consoler Fatmagül , ses larmes coulent le long de ses joues, il les recueille avec ses doigts et Mukaddes qui voit la scène l’injurie en disant : » Ton frère est en prison et toi tu es avec ton Don Juan à te faire consoler !  » Kerim ne supporte pas qu’on attaque Fatmagül, il sort de ses gonds pour la faire taire. Murat a tout entendu, il demande si c’est vrai que son père est en prison!.

En prison les détenus se moquent de Rahmi, il se défend comme il peut, mais il est tellement triste d’être dans cet endroit. Un des leurs lui apporte du thé, il ne refuse pas parce qu’il a soif.

Resat remercie le docteur qui a soigné Erdogan et il lui demande s’il peut le garder un peu plus longtemps en soins intensifs pour que ses agresseurs aient peur, pour qu’ils ressentent cette angoisse qui le ronge. Il réussit à convaincre le docteur, il accepte.

Perihan reproche à Munir de ne pas avoir assez aimer Leman, qu’elle l’aimait tellement elle.

Nil vient voir la mère d’ Erdogan, elle lui dit qu’il sera vite remis sur pied. Selim dit à Nil que c’est pour elle qu’Erdogan est allé voir Fatmagül, pour qu’elle cesse de croire toutes les ignominies que l’on entend sur lui.

Fatmagül demande à Kerim s’il fait froid dans la prison et s’ils éteignent les lumières parce que son frère a peur du noir. Kerim dit qu’ils les laissent allumées souvent.

Mukaddes se met en colère quand Ebe Nine commence à raconter à Kadir ce qui s’est réellement passé. Il lui dit que ce qui va compliquer les choses c’est que Rahmi a avoué. Si Erdogan s’en sort et s’il accepte d’abandonner les charges contre eux ils peuvent espérer, mais comme le dit Kerim il n’acceptera jamais.

Fatmagül dort avec Murat qui est très malheureux de savoir son papa en prison et il ne s’apaise qu’en présence de sa tante.

Ebe Nine vient parler avec Kadir. Elle sait qu’ils auront du mal à se sortir de cette situation. Quand elle lui demande comment s’est passé son voyage, il raconte qu’ils sont allés à Antalia pour voir les parents de sa femme décédée et qu’ils sont vieux maintenant mais ils ont apprécié de voir tous ses amis de la faculté de droit qu’ils connaissaient tous. Il dit à Ebe Nine qu’il leur a dit qu’il était heureux maintenant. Elle a mal compris sans doute , elle dit qu’elle va se coucher, elle n’a pas compris que c’était elle qui le rendait heureux. Quand il lui dit que son amie aurait voulu la rencontrer, elle dit qu’elle aura certainement une autre occasion et va se coucher.

Mukaddes ouvre la porte de la chambre de Fatmagül , elle voit qu’elle dort, et Murat aussi. Elle s’enferme dans la cuisine et appelle Perihan. Resat lui demande de mettre le haut parleur pour écouter ce qu’elle veut. Elle lui dit qu’elle est désespérée, son mari est en prison et elle a un bébé d’une semaine. Elle lui dit que ses enfants cherchent toujours à leur nuire . Eux ont fait du mal mais ils sont en liberté et son Rahmi qui ne ferait de mal à personne se trouve en prison. c’est vraiment injuste. Rahmi n’est pas quelqu’un de dangereux, il a juste voulu protéger sa soeur. Elle lui demande de ne pas porter plainte contre son mari. Perihan a raccroché alors que Resat aurait voulu l’entendre davantage.

Fatmagül s’est levée pour le bébé qu’elle entend pleurer, mais Mukaddes l’a chassée. Elle est retournée se coucher.

Le lendemain elle prépare un sac pour Rahmi avec des vêtements, un nécessaire de toilette, et d’autres choses dont il peut avoir besoin. Ils vont lui rendre visite en prison avec Kadir.

Ebe Nine dit à Kadir qu’il peut aller voir sa petite amie, il lui dit ce n’est pas ma petite amie, juste une amie.

Les camarades de Murat dessinent un homme enfermé dans une prison et le montrent à Murat qui se met à pleurer, il est tellement triste.