« Du faux témoignage.  Est-ce que vous allez m’aider à trouver le témoin ? » dit-il. Selvi lui demande ce qu’il va faire s’il trouve le témoin. Il lui répond que ça ne la regarde pas. Sur ce, elle décide de partir, elle ne veut pas l’aider.  Il la rattrape par le bras et commence à lui faire la liste de ce qu’il voudrait lui demander : « Pourquoi avez-vous menti ? », « Qui vous a poussé à faire ça ? », « Qu’est-ce que vous avez gagné en retour ? ». Sur le coup, elle croit qu’il l’interroge directement, mais ce n’est que ce qu’il voudrait demander au témoin s’il le trouve. Elle respire. « Je lui demanderai de payer pour ce qu’il/elle m’a fait perdre, et pour ce qu’il/elle m’a fait subir. »

Beril hésite toujours devant la porte d’entrée de l’immeuble.

« Est-ce que vous allez investiguer pour retrouver son identité ? » Dit Dağhan. Selvi lui répond qu’elle a déjà fait des recherches mais que, malheureusement, l’identité du témoin n’est pas dans le dossier juridique, mais plutôt cachée dans un dossier secret aux archives du poste de police. Dağhan lui rappelle qu’elle avait promis de trouver un autre moyen pour découvrir l’identité, ce qu’elle a fait. Elle s’est même renseignée auprès d’un de ses professeurs pour voir s’il y avait un autre moyen d’entrer aux archives. Il n’existe malheureusement pas de moyen légal

Beril décide d’abandonner de voir Dağhan. Elle remonte en voiture.

« S’il n’y a pas de moyen légal…alors trouvons un moyen illégal d’y accéder. » dit Dağhan. Selvi est sidérée. Dağhan sort précipitamment, Selvi le suit dans la rue en lui demandant de revenir.

Ils passent à proximité de la voiture de Beril.

Selvi essaye de le dissuader de faire quelque chose d’illégale qui risquerait de lui apporter des ennuis. Dağhan lui demande de le laisser tranquille. Elle insiste, invoquant qu’il est toujours en période de préavis, que le procès pourrait être réouvert, et qu’il la mettait aussi en danger.  Dans ce cas « vous n’êtes plus mon avocate. Fichez le camp » lui dit-il. Yilmaz soudainement apparaît et pousse Selvi dans une ruelle sans être vu de Dağhan. Il est très fâché contre sa sœur et la ramène à sa voiture pour discuter.

Entre temps, Ender arrive au bureau où sa mère l’attend. Mme Asuman s’inquiète au sujet de ce qu’il y a en première page des journaux. « LE TUEUR DE SEZAI KARALI EST LIBERE ». Elle veut s’assurer que ça ne va pas porter préjudice à son fils. Il nie avoir quoi que ce soit à voir avec la mort de son oncle, M. Karali. Elle avait des doutes car la mort de Sezai les a sauvés d’un grand désastre. Elle veut croire que le timing n’est qu’une coïncidence. Son fils lui rappelle que s’il avait eu à voir avec le meurtre, ce serait à cause d’elle et non de lui. Il risque gros à cause d’elle. Par conséquent, il n’a pas de compte à lui rendre. Ce n’est pas son intention, elle veut juste s’assurer qu’il est en sécurité. Il lui rappelle qu’il est capable de se débrouiller tout seul et ajourne le meeting.