Elif reçoit une enveloppe contenant un CD. Ömer quant à lui, accompagne Svetlana au point de rendez-vous et lui demande de faire sortir Hüsseyin. Il met également un micro sur le petit Burhan.
Elif visionne le CD. Dans un premier temps, elle voit les ébats amoureux de sa sœur Nilufer avec Fatih, puis les images de sa sœur Asli bousculant sa mère, Zerrin. Asli arrive au bureau en même temps et voit les images. Elle est sous le choc et entre dans une crise d’hystérie.
Svetlana hésite encore, elle ne peut pas faire ça à Hüsseyin. Alors Ömer lui présente tous les arguments pour la persuader. Elle retrouve Hüsseyin dans le hangar qui est pressé de partir. Il faut faire vite. Comme convenu, Svetlana fait sortir Hüsseyin pour lui parler. Quand elle lui dit qu’elle est reconnaissante pour tout ce qu’il a fait pour elle. Hüsseyin ne comprend pas pourquoi, c’est alors que son fils se précipite dans ses bras et l’informe que la police veut l’arrêter ! Il aperçoit Ömer et prend la fuite, mais le jeune frère réussit à le rattraper. Cette fois il ne lui échappera pas « Laisse-moi partir » lui dit-il. Hüsseyin commence alors à jouer la grande victime de Tayyar. Son culot exaspère Ömer qui ne voit plus en lui une once d’honneur et d’humanité. Ömer lui répond que pour lui ce n’est pas facile car il les a tués, lui, sa mère, ses enfants et sa femme. Il lui passe alors les menottes et justice sera rendue. Hüsseyin lui demande si un jour il lui pardonnera ? Ömer lui répond qu’il est mort, enterré dans son cœur.
Asli devient de plus en plus folle et se brise un vase sur la tête.
Hüsseyin doit faire vite, il faut absolument qu’il se débarrasse de la clé USB, mais comment faire ? Alors il s’avance vers la voiture où se trouvent Svetlana et Burhan et à coup de poing brise la vitre. Pendant que Pelin s’occupe de ses blessures, Svetlana et son fils accourent pour le voir. Le petit serre son père très fort, Hüsseyin en profite pour glisser la clé USB dans la poche de son blouson.
Asli est transportée d’urgence à l’hôpital. Nilufer veut savoir ce qui s’est passé, Elif lui explique toute l’histoire. Nedret qui arrive au même moment, entend leur conversation.
Il n’y pas plus d’échappatoire pour Hüsseyin ! Devant le commissariat, il demande à son frère : « Tu m’emmènes ici ? » Et son frère lui répond : « Tu croyais quoi ? Tu vas être inculpé de meurtre ». Les frères Demir arrivent au commissariat à la vue de tous les collègues de travail. Hüsseyin est humilié par tous ces regards qui le fustigent. Il n’a que ce qu’il mérite. Ömer, qui peut sentir la honte demande à tout le monde de reprendre leur boulot.
Tayyar demande à ses hommes si Hüsseyin est enfin parti. Quand il apprend qu’il s’est fait arrêter par Ömer, il panique et ordonne de retrouver la clé USB.
Maintenant Hüsseyin est de l’autre côté de la barrière et doit obéir à la procédure comme un quelconque criminel. Humilié de voir Arda jeter à la poubelle sa plaque avec son nom de chef inscrit dessus.
Levant est aux côtés d’Elif qui attend des nouvelles de sa sœur Asli. Il ne la quitte plus d’une semelle !
Ömer commence l’interrogatoire et demande à son frère : « Qui a donné l’ordre de tuer ? Tu travailles pour qui ? Parle, c’est le moment de payer ta dette » ! Mais Hüsseyin ne parle pas et invoque son droit au silence. Ömer est fou de rage, lui dit « comment ça, tu ne diras rien ? peu importe ! Tu as tué trois personnes. Nous avons trouvé l’arme des crimes. Tu l’as jetée dans le puits. » Ömer lui demande de lui révéler au moins les noms car il n’y aucune issue et il y a des preuves. Le voyage est terminé pour Hüsseyin! Têtu comme il est, Hüsseyin dit à son frère de faire ce qu’il veut, il n’y a rien à faire ! Arda intervient et tente de le convaincre à parler, au moins par respect pour les gens innocents qu’il a tués et que Tayyar ne fasse plus de mal à personne ! Ömer regarde son frère droit dans les yeux et lui dit : « Très bien, ne parle pas mais tu sais que tu vas en prendre au moins pour 20 ans et tu seras tout seul. On t’oubliera ». Bouleversé, Ömer quitte la pièce.
Remerciements : Carole D’Asta
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