Fatmagül – Episode 106 « Départ de Fahrettin et Deniz Ilgaz ».

La mère de Mustafa vit désormais chez son fils . Il veut lui présenter Acer, mais elle veut qu’il l’oublie, cette femme n’est pas pour lui, elle ne lui convient pas. Quand il lui dit qu’elle est enceinte elle reste sans voix. Sa mère s’obstine . Mais Mustafa dit qu’il ne veut abandonner ni elle ni la mère de son enfant. Acer savait qu’elle réagirait ainsi. Il lui dit d’être patiente, qu’ils y arriveront tous les deux.

Deniz et son père sont dans les boutiques de l’aéroport et achètent des souvenirs et des gourmandises pour leurs famille et amis. Fahrettin espère la venue de son fils, il regarde sans cesse pour voir si Kerim arrive. Il a peur qu’il ne change d’avis.

A la maison Rahmi regarde à la fenêtre, Kerim s’inquiète mais il lui dit que c’est le voisin qui fait du bruit.

Kerim frappe à la porte de Fatmagül, elle est entrain de choisir un cadeau pour Deniz dans les choses qu’elle a faites elle-même. Mukaddes arrive et dit que Ebe Nine voulait qu’ils aillent tous à l’aéroport. Cela semble contrarier Kerim qui dit que ce n’est pas une fête, tout le monde n’a pas besoin de venir! C’est un sujet très délicat pour lui.

Kadir arrive sur ces entre-faits et dit que beaucoup de bouchons l’ont empêchés d’avancer . Il leur dit aussi qu’ils ne peuvent pas compter sur le témoignage de Leman, elle va trop mal.

Munir en rigolant dit à Resat que le rapport de santé chronique de Leman est à eux ! Resat dit qu’il espère surtout que son témoignage ne sera pas valide compte tenu de son état psychique détérioré.

Erdogan fortement alcoolisé terrorise Yadigar, il casse tout autour de lui, jette des meubles, il hurle qu’il va se venger de Fatmagül et de Kerim, qu’ils ont bouzillé sa vie ! Il veut les tuer tous les deux ! Yadigar arrive à le stopper dans sa furie, pour le calmer elle lui dit que sa mère va mieux. Il lui fait peur.

Apparemment l’accident n’a rien à voir avec les Yasaran, Kadir explique que Leman et son mari se disputaient violemment dans leur voiture. Il leur dit aussi que Fahrettin l’a appelé pour lui dire que Mustafa avait trouvé la maison dans les bois.

Acer dit à la mère de Mustafa qu’elle comprend sa colère, mais elle a un bébé dans le ventre et elle l’aime déjà. Elle lui dit : » Vous ne me jugez que sur mon passé. J’ai tiré un trait sur cette période de ma vie ! » Elle lui demande de lui donner une chance de se racheter à ses yeux.

Mukaddes est très curieuse et demande à Kadir comment est la maison dans les bois. Elle dit que Fahrettin a sûrement acheté cette maison pour Kerim. Il vit en Australie et achète une propriété à Istanbul, c’est étrange non ? Kerim dans sa chambre regarde les photos de son enfance. Il s’attarde sur celle où son père n’a plus de tête. Il y a un trou à la place, un vide, le même que celui de sa vie à cette époque. Il va pourtant dire aurevoir à ce père si longtemps absent de sa vie.

Fahrettin recommande à Mumtaz de veiller sur Kerim et sa famille et de le tenir au courant de tout ce qui se passe ici.

Acer appelle Fahrettin pour le remercier et lui souhaiter bon voyage. Cet homme bon et généreux a veillé sur elle. Mustafa lui dit de le saluer, il lui rend son salut. Mustafa dit à Acer qu’il enlèvera toutes les pierres qui se mettront sur son chemin. Et il est sûr qu’un jour sa mère comprendra pourquoi il l’aime autant.

Fahrettin désespère de voir arriver Kerim, puis il voit arriver toute la famille dans sa direction. Kerim prend sa soeur dans ses bras. Elle le remercie d’être venu. Fatmagül embrasse chaleureusement Deniz et lui remet ses petits cadeaux. Fahrettin prend son fils dans ses bras en l’appelant  » Fiston » (moment très émouvant) et lui dit si tu veux on ne se sépare plus, tu peux venir en Australien tes enfants grandiront là-bas. Mais il lui dit qu’il a besoin d’un peu de temps. Il lui dit qu’il a découpé la tête de sa photo quand il a compris qu’il ne reviendrait pas. Il lui exprime le grand vide de sa vie. Il va essayer de remettre le visage de cette photo mais ce ne sera pas si simple. Son père lui dit de ne pas trop le faire attendre. Il se tourne vers Ebe Nine et lui dit: «  Tu as élevé un fils merveilleux ! » En quittant la famille il dit à Kadir que Kerim le considère comme son père. Il remercie tout le monde. Il dit à Fatmagül qu’il est content de la connaître, et qu’elle peut compter sur son aide en cas de besoin de quoi que ce soit. Deniz demande à Mumtaz de les prendre en photo, toute la famille puis Kerim avec son père, avec sa sœur et sa femme et son père, le père et le fils bref des souvenirs pour là-bas, loin d’eux ! Fahrettin dit à Kerim que ce n’est pas un au revoir, c’est juste le commencement. Il l’appelle fiston et pleure en le tenant dans ses bras. Kerim réalise que son père a un coeur, il exprime lui aussi sa souffrance avec des larmes. Farretyn dit à Deniz «  Il ne me pardonnera jamais  » mais Deniz lui répond : » Papa je t’en prie« .

Kerim regarde Fatmagül qui sourie, elle est désormais toujours à ses côtés.

Les Yasaran sortent aussi de l’aéroport, il y a des journalistes partout. Ils interrogent Resat sur sa femme et fais son show devant la presse. Mukaddes les aperçoit, elle le dit à Kerim, ils s’empressent de partir tous.

Deniz envoie une photo à Kerim de son père avec lui , il ne sourit pas sur la photo.

Resat dit à la presse qu’il va donner une conférence de presse .

Yadigar secoue Erdogan qui n’est pas encore levé, ni douché.

Kerim n’a pas envie de rentrer à la maison, surtout pour changer les idées, il dit à Fatmagül et si on sortait au ciné? Il lui dit d’appeler Ebe Nine pour savoir s’ils sont d’accord pour venir. Kerim a son air sombre, il ne dit pas grand chose dans la voiture. Ils ont décidé d’aller voir un film qui se passe au temps de la mère de Ebe Nine, lorsqu’une catastrophe s’est produite entre la Grèce et la Turquie, « Didemin Isanlari » c’est le titre du film.

Sinem appelle Fatmagül pour lui dire de ne pas prendre ses appels inconnus. Et que Resat Yasaran va donner une conférence de presse, qu’elle y sera pour écouter ses mensonges. Mukaddes dit à Fatmagül que les gens vont la reconnaître dans la rue, ils ne seront plus tranquilles désormais.

Erdogan Yasaran est assailli par les journalistes, mais il passe son chemin sans rien leur dire, pas même un mot de politesse.

La mère de Erdogan interpelle Nil à l’hôpital mais elle lui dit qu’elle ne mélange pas vie privé avec vie professionnelle. Elle n’a rien à lui dire.