Fatmagül est désolée de voir dans quel état est Kerim après que Mukaddes ait reçu la lettre de son père. Il la froisse, puis la lit mais les mots lui font mal. Il lit que son père va venir le voir et il n’en supporte pas l’idée, il a trop de haine en lui pour ce père qui ne s’est jamais intéressé à lui.
Il est fou de rage, sa colère s’amplifie dès qu’il lit deux mots sur cette lettre qui ne lui est même pas adressée. Il cherche cette garce de Mukaddes qui se mêle d’une chose qui ne la regarde pas, il en veut aussi à Ebe Nine d’avoir caché la première lettre que Mukaddes a trouvée et à laquelle elle a répondu . Il ne contient plus sa haine pour cette femme inconsciente et stupide, Il ne parvient pas à contrôler sa colère, il s’énerve après Ebe Nine qui se sent très malheureuse de l’avoir trahi, elle ne comprend pas pourquoi elle a fait ça sans réfléchir.
Mustafa a trouvé un appartement luxueux, il savoure son plaisir d’habiter un lieu pareil. Il trouve dans ses affaires une photo de Fatmagül et la photo des quatre hommes qui ont massacré sa vie prise à l’anniversaire de Selim et qu’il a trouvé dans la voiture d’Erdogan.
La mère de Meltem pleure parce que son mari s’est fait battre aux élections à cause de cette affaire alors qu’il a tant travaillé pour être élu.
Mustafa rappelle Meltem qui lui a laissé plusieurs messages et auxquels il ne s’est pas donné la peine de répondre. Meltem veut le voir, elle a des choses importantes à lui dire, mais pas chez elle parce qu’il lui dit qu’ils ne doivent pas être vus ensemble. Il lui envoie l’adresse de son appartement, elle viendra chez lui.
Sali vient parler à Mukaddes, il lui dit que sa femme sait tout, elle l’a mis à la porte. Il se retrouve sans femme, sans enfant, sans travail et sans habitation.
Ebe Nine pleure, elle est inconsolable , elle aurait du se douter que Mukaddes chercherait la lettre, elle est tellement curieuse. Elle s’est bien rendue compte qu’elle savait trop de choses sur le père de Kerim, et aussi ses questions indiscrètes de ces derniers jours avaient un rapport avec ce courrier.
Fatmagül aperçoit Kerim au bord de la rivière, il a l’air dévasté par son chagrin et sa colère. Il est pensif, en fait il revoit sa mère pendue au bout d’une corde, parce qu’il l’a vue quand il était encore un enfant. Cette image douloureuse et effrayante ne s’est jamais effacée de sa mémoire. Fatmagul vient à lui, elle essaie de le raisonner, de lui dire qu’elle a appris beaucoup de choses avec ce qui lui est arrivé, qu’elle sait maintenant qu’il ne faut pas regarder que les apparences, qu’il faut connaitre l’histoire de l’autre avant de le juger, qu’il faut savoir pardonner que le pardon même un semblant de pardon peut aider à moins souffrir. Elle lui dit tout ce qu’elle pense, et les mots atteignent Kerim, il sait qu’elle a raison mais pour le moment sa colère l’emporte. Elle lui dit d’écouter ce que son père a à dire avant de le repousser délibérément.
Sali dit à Mukaddes qu’elle a brisé toute sa vie, qu’il va devoir en commencer une nouvelle, toute sa famille l’a rejeté même son père lui a dit qu’il n’avait plus de fils désormais.
Kerim dit à Ebe Nine sur un ton autoritaire de rappeler ce type, et de lui dire de ne jamais venir le voir, c’est inutile, il n’a plus besoin de lui. Il ne s’est pas rappelé qu’il avait un fils alors qu’il venait de perdre sa mère. Il dit aussi que sa mère a choisi la mort parce qu’elle se sentait trop seule. Il compose le numéro écrit dans la lettre et tend le téléphone à Ebe Nine, soulagée, elle dit que ça sonne mais c’est un répondeur … Kerim lui dit qu’elle a intérêt à le rappeler . Il ne se sent pas capable de conduire, il tend les clefs à Ebe Nine et monte à l’arrière, Fatmagül se mettra devant, ils vont signer le contrat de vente du restaurant.
Mukaddes est face à un Sali désemparé, sans travail, sans argent, sans famille. Et elle lui rappelle qu’il l’a rouée de coups, traînée au sol et frapper méchamment , il reconnaît ses torts, mais elle ne lui pardonnera ni ses injures ni ses coups.
Le restaurant appartiendra à Fatmagül et Ebe Nine; c’est Kerim qui l’a décidé ainsi lors de la signature. Fatmagül est ravie et fière.
Kadir et le policier dialoguent à propos de Kerim, l’un et l’autre ne comprennent pas qu’il n’ait pas porté plainte après avoir été roué de coups par Mustafa et même atteint par deux balles d »une arme.
Perihan essaie de négocier avec le procureur pour changer les garçons de condition d’incarcération mais il ne cède pas, ceci n’étant pas de son ressort.
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