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Avant le départ, nous nous posions tellement de questions sur le déroulement de ce voyage au pays des merveilles, sur l’instant précis de la rencontre avec notre héros, etc. Et puis, soudainement, nous sommes prises de doutes, passant de l’excitation totale à une peur effroyable ! Est-ce nous allons réellement pouvoir entrer dans l’enceinte du lieu du tournage et le rencontrer ? Sera-t-il disponible pour nous, petites françaises et admiratrices inconditionnelles, ou allait-on plutôt nous prendre pour des intruses, des envahisseuses, alors qu’il doit se concentrer sur son rôle ? N’aurions-nous pas dû prévenir les responsables de la production Sefirin Kizi de notre visite ? Allait-on par notre arrivée perturber le déroulement du tournage ? Sera-t-il trop fatigué pour accepter de nous rencontrer ? Comme vous pouvez le constater, des centaines de questions de ce genre ne cessaient de nous angoisser.
Mardi 20 avril, arrivée à Bodrum !
Il est déjà tard dans la soirée, et nous venons tout juste d’arriver à Bodrum. Je vous laisse imaginer la nuit que je passe, empreinte d’anxiété, d’excitation, et surtout de joie. Toutes les émotions sont réunies, alors que les films et séries d’Engin défilent l’un après l’autre dans ma tête. Impossible pour moi de fermer l’œil !
Mercredi 21 avril, une journée exceptionnelle !
Levées tôt, mon amie Nurgül et sa fille Rümeysa viennent nous rejoindre à l’hôtel de très bonne heure. Encore une fois, c’est grâce à Engin Akyürek que nous avons pu faire tant de si belles rencontres. Sans perdre une minute, nous prenons la route en direction du lieu du tournage, objectif principal de notre périple. J’accompagne Nurgül dans sa voiture et les filles nous suivent dans un autre véhicule. Durant tout le trajet, mon cœur bat tellement la chamade que je crains presqu’il ne s’arrête. Je me pince : « Suis-je en train de rêver éveillée d’un doux songe, ou vais-je réellement rencontrer Engin Akyürek aujourd’hui ? »
Dès notre arrivée, un premier paysage s’offre à nous : la voiture de Sancar est garée au bord de la route. Les caravanes, dressées en file indienne, apparaissent également comme des signes révélateurs que notre rêve est bel et bien sur le point d’être réalisé. Mon cœur se met une nouvelle fois à chavirer. Nous descendons de voiture, paquets cadeaux en main, et nous dirigeons vers le lieu de tournage. A l’approche du bâtiment, nous reconnaissons immédiatement Nedim, l’homme à tout faire de Halise dans la série SefirinKizi. Nurgül s’adresse à un des employés de la production NGM. Elle explique que nous sommes venues de très loin pour rencontrer M. Engin Akyürek. Il nous informe qu’en raison de la durée du tournage ce jour-là, nous risquons très certainement d’attendre plusieurs heures, c’est-à-dire environ quatre ou cinq heures, avant de pouvoir le rencontrer. Ayant parcouru des milliers de kilomètres depuis la France pour vivre ce moment unique, nous lui faisons savoir immédiatement que nous ne voyons pas d’inconvénient à attendre, même si cela doit prendre la journée entière.
Pour faire passer le temps, nous décidons d’aller faire la connaissance de Nedim, qui semble être disponible. Nous l’informons que nous sommes venues pour voir Engin Akyürek et lui demandons s’il peut nous indiquer s’il se trouve bien à l’intérieur du bâtiment. Il nous répond sur un ton très aimable : « Si vous attendez, vous pourrez le rencontrer. Vous n’aurez qu’à l’interpeller à sa sortie. Monsieur Engin ne s’y oppose jamais et il vous recevra. » Ces paroles nous rassurent énormément, en même temps qu’elles nous procurent une joie infinie. L’espoir l’emporte enfin sur le doute.
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La chance nous sourit bel et bien ce jour-là. Au bout d’une heure environ, nous voyons apparaître un bel homme, grand et mince, à l’allure impressionnante. Je pense tout de suite : « Comment un tel homme peut-il passer inaperçu ? ». J’aurais pu le reconnaître à des milliers de kilomètres. Il marche vite en direction de sa caravane. Nurgül et nous courons immédiatement à sa rencontre, sans même réfléchir ni nous concerter. Elle s’approche carrément de lui et se met à lui parler.
Pendant tout ce temps, je ne peux pas détacher mon regard de sa personne. Je remarque ses yeux surtout qui, malgré la présence de son masque, ont la force d’illuminer son visage. Le temps se fige un court instant, je suis hypnotisée par son seul regard.
Continuer à admirer cet être surnaturel juste là devant moi, c’est tout ce que je désire, tout en essayant de ne pas m’imposer pour ne pas rompre cette atmosphère féérique. Je me tiens donc un peu à l’écart. Les filles se trouvent directement derrière moi. Céline s’apprête à faire une vidéo et des photos, mais l’homme de la production l’en empêche. C’est là un de mes plus profonds regrets, car nous aurions pu marquer cet instant inoubliable par quelques clichés.
Soudain, c’est sur moi que ses yeux se posent. Il hoche la tête en guise de salut. Je ne pourrai jamais oublier ces secondes. Son regard profond me fait perdre mes moyens. Il m’est très difficile de décrire le sentiment qui m’envahit lorsque ses yeux sont posés sur moi. Aujourd’hui encore, malgré le recul, j’ai du mal à trouver les mots justes. Puis, tout s’accélère quand il s’approche de moi.
Déjà réduite de mes capacités, je me sens encore plus vulnérable. Je réussis tout de même à lui prononcer quelques mots moitié en anglais moitié en turc, à savoir que nous sommes venues de France, que nous appartenons au Club français Engin Akyurek France, que nous sommes infiniment honorées d’être là, et que notre visite fait suite à l’album qui lui a été dédié et qui lui a été remis en main propre en décembre 2020.
Il nous répond tout de suite : « Oh, yes, album ! », ponctué d’un sourire palpable à travers le masque. J’ai toujours rêvé de ce moment unique, et voici que je suis en train de le vivre. J’ai appris par cœur ces multitudes de choses que j’ai à lui dire et que je veux qu’il sache, mon admiration, ma passion pour sa personne toute entière, etc. Mais la panique une fois de plus prend le dessus. Je me sens comme « verrouillée » intérieurement. Les mots qui grouillent en moi s’entrechoquent, et je suis dans l’incapacité totale d’en prononcer un seul.
Malgré cette panique intérieure, mes membres me permettent au moins de lui remettre ses cadeaux. Le mien, un stylo gravé de son prénom et une carte sur laquelle j’avais écrit : « La mémoire se perd mais l’écriture demeure. Merci d’offrir vos pensées à vos fans du monde entier à travers vos contes qui nous sont très précieux ».
Il nous remercie, signe une photo pour le groupe, puis dédicace son livre Sessizlik à chacune d’entre nous.
Enfin, nous lui demandons de poser pour une courte séance de photos, mais l’agent, qui estime que nous sommes trop nombreuses, préfère que nous ne fassions qu’une seule photo de groupe.
Engin se dirige ensuite vers sa caravane pour continuer la signature des livres que Nurgül a gracieusement apportés. Il lui demande : « Pour qui dois-je signer ? », à la suite de quoi Nurgül lui remet les noms des personnes pour lesquelles les livres paraphés seront destinés. Pendant qu’il signe les livres, il demande à Nurgül comment nous nous connaissons et elle lui répond que nous communiquons beaucoup par Instagram. Une fois les signatures apposées, je demande à prendre une dernière photo d’Engin. L’agent s’y oppose à nouveau, mais Engin apparaît sur le pas de la porte de la caravane, et il dit d’un ton jovial « It’s OK! » pour exprimer son accord pour quelques clichés supplémentaires. Vous ne pouvez pas imaginer mon enthousiasme face à son extrême amabilité, son indulgence, sa douceur et sa compréhension. De plus, j’ai le privilège de pouvoir le voir et de le prendre en photo sans masque. Malgré la fatigue qui se laisse deviner sur son visage, il nous remplit d’une joie immense avec son sourire pétillant, et cela me fige une fois de plus. Ce moment restera à jamais gravé dans mon esprit.
Laissez-moi vous dire que j’ai mis du temps à redescendre de mon nuage. Cette journée du 21 avril, bondée de moments magiques et de pur bonheur, restera dans mes annales comme l’une des plus extraordinaires.
Après la photo, suivi de chaleureux remerciements (çok teşekkür ederim), Engin nous fait savoir qu’il est temps pour lui d’aller se reposer un peu. En effet, son épuisement est plus qu’évident. Un grand vide s’installe après son départ et aucune de nous n’a envie de quitter les lieux. C’est, en quelque sorte, comme si le fait de rester nous permettait de continuer à l’avoir près de nous.
Aujourd’hui, à la question : « Comment était Engin Akyürek ? », je vous répondrais que je l’ai trouvé naturel, chaleureux, et très à l’aise. On aurait pu penser qu’Engin, de par son statut d’acteur très prisé – qui plus est dérangé entre le tournage de deux scènes – aurait pu faire montre de signes d’impatience ou même souhaiter ne recevoir personne. Bien au contraire, je dirai qu’il était plutôt à l’écoute de nos demandes, soucieux de nos moindres faits et gestes, et doté d’une bienveillance inouïe, en contraste flagrant avec le personnel de la production qui parfois se mettait en travers de notre chemin.
Tout ce que je peux retenir de cette observation, c’est que j’ai eu beau me préparer pendant des semaines pour être enfin prête le jour de la rencontre, le simple fait de me retrouver devant lui m’a fait perdre tous mes moyens, et je suis restée bouche bée. Il faut sans aucun doute vivre cette expérience personnellement pour y croire.
Ce qu’il y a de plus impressionnant chez Engin, c’est sa simplicité, son allure impeccable, sa sincérité et son authenticité. C’est un homme captivant et enchanteur. J’irais même jusqu’à dire qu’il est envoûteur. Sa présence, sa prestance, son charisme, le rendent unique. Lorsqu’il se trouve en face de vous, vous oubliez tous ses personnages. Vous ne voyez qu’Engin Akyürek, l’homme au charme fou, extrêmement mature, remarquable, séduisant, sincère, aimable, doux et accueillant. C’est un homme avec des expressions et des attitudes claires et directes. Il est remarquablement attentionné et encore plus beau qu’à l’écran. Il a vraiment des yeux pétillants de couleur caramel entourés de très beaux cils. Ses cheveux sont, certes, un peu courts, mais néanmoins magnifiques. Son nez aquilin épouse parfaitement son visage. Il a les doigts longs, minces et bien dessinés (comme vous pouvez le voir sur la photo prise devant sa caravane). Sa superbe silhouette et son allure impeccable apportent un peu plus à son cœur d’or. C’est une personne humble et modeste, en même temps que courtoise et infiniment aimable. Lorsqu’il vous sourit, il illumine votre entourage. Comme tous les personnages qu’il a pu incarner, Engin Akyürek se révèle excessivement attachant. Il maîtrise parfaitement l’art de la présence et vous fait sentir à l’aise et respecté, ce qui nous permet de forger des liens profonds.
En outre, il porte son nom à merveille : immense cœur pur.🤍
Après l’avoir quitté, bien évidemment à contre-cœur, nous prenons la route vers le manoir.
La chance une nouvelle fois nous sourit car le gardien du Konak est là, et il nous ouvre le portail tout grand pour que l’on puisse entrer et visiter l’intérieur de cette splendide demeure, témoin de tant de souvenirs de la famille Efeoğlu dans la série Sefirin Kizi. Ceci nous permet une fois de plus de prendre quelques photos souvenirs.
Nous nous dirigeons ensuite vers la petite cabane forestière, lieu historique et unique en soi, qui non seulement marque beaucoup de temps forts de Sefirin Kizi, mais également évoque la maison de poupée grandeur nature de Melek ou encore l’endroit où Mavi et Sancar se sont rencontrés pour la première fois. La production NGM a su sélectionner d’excellents lieux de tournage aux abords de Muğla, parmi des paysages resplendissants de verdure, des plans d’eau exceptionnels, ou encore des montagnes rocailleuses impressionnantes, majestueuses, et captivantes, telles qu’on peut le voir derrière la cabane de Melek.
Au lendemain de cette journée inoubliable, nous visitons Bodrum, aussi surnommée la « Saint-Tropez » turque, lieu magnifique avec ses bateaux amarrés au port, ses ruelles animées et ses boutiques souvenirs bien achalandées. C’est un superbe endroit pour flâner en journée ou encore s’assoir à une terrasse pour boire un thé ou un café turc, ou encore déguster une glace rafraîchissante.
Nous avons aussi l’occasion et le plaisir de visiter Özge Cenikli. Vous vous souviendrez que c’est Özge qui a préparé le fameux gâteau d’anniversaire d’Engin lors de sa célébration avec l’équipe de Sefirin Kizi le 12 octobre dernier en face de la cabane forestière.
Özge nous a préparé une de ses délicieuses spécialités de gâteaux faits maison, accompagnée de thé et café turc. C’est une courte visite, certes, mais tellement plaisante et qui restera ancrée à jamais dans nos esprits.
Notre visite se poursuit à Milas, ou plus précisément à Bogaziçi Köyü, lieu où Kahraman a pris Müge en otage. Le site est un peu éloigné, mais la vue qui s’offre aux alentours en vaut vraiment la peine.
Pour finir, nous retournons à la rencontre de Nedim qui, toujours galant auprès de ces dames, propose de nous accompagner à l’ancien moulin à grain, lieu même où Sancar a séquestré Akin à son retour en Turquie. C’est un endroit fantastique, avec un point de vue incroyable, et nous y passons un moment très agréable.
En définitive, ce fut un séjour rythmé par d’innombrables émotions, par une multitude de découvertes et de surprises, et surtout ponctué de bien belles rencontres ! J’ai tellement hâte de revivre ces moments !
Je voudrais profiter de cette occasion pour remercier M. Engin Akyürek de nous avoir accordé quelques instants durant son emploi du temps chargé pour nous accueillir, mes amis et moi, sur le plateau de Sefirin Kizi. C’est littéralement un rêve devenu réalité pour moi d’avoir pu le rencontrer en personne. Je n’oublierai jamais sa gentillesse et sa volonté de poser pour les photos, de signer les nombreux livres que nous avions apportés, et sa volonté de communiquer avec nous malgré la barrière de la langue.
C’est un moment que je souhaite à tous ses fans du monde entier de pouvoir vivre.
Notre objectif est de continuer à le faire connaître et à diffuser son talent à l’international, c’est-à-dire dans les pays francophones et anglophones, mais plus précisément en France, par l’intermédiaire des sites Facebook comme suit :
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Et enfin notre blog où nous publions de nombreux articles et interviews, liés à son travail de séries télévisées et de films 👇
▶https://enginakyurekfrance.fr/
Notre plus grand souhait serait que M. Engin Akyürek puisse trouver un moment pour parcourir tous ces sites de médias sociaux et se rendre compte à quel point nous l’aimons et l’admirons dans le monde entier. Notre admiration pour lui est si grande que nous sommes toujours impatients de le voir dans d’autres projets.
Nous lui souhaitons tous nos vœux de réussite et nous l’aimons à jamais.
Faryal – Engin Akyürek France .
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