Sorti en salle le 23 Mars 2018, Produit par Avşar Film et écrit et réalisé par le réalisateur Çağan Irmak, le film ‘Çocuklar Sana Emanet’ a pour acteur principal, le talentueux Engin Akyürek. il est accompagné de Serif Sezer, Hilal Altinbilek, Hilal Altinbilek, Osman Alkas et Erin Devrim dans le rôle de l’enfant.
Kerem, le personnage d’Engin joue le rôle d’un jeune architecte, très demandé et qui a connu beaucoup de succès
Il a tout, y compris une belle épouse Yeşim (Hilal Altinbilek), de l’argent, une carrière, un statut et une maison.
Il vit dans un immeuble luxueux avec une vue imprenable. Mais tout n’est pas aussi parfait qu’on pourrait le voir. Le jeune couple ne peut pas avoir d’enfants et ce fait les entraîne vers des disputes de temps à autre. Ils essaient plusieurs méthodes de fécondation pour augmenter les chances et rendre Yesim plus susceptible de concevoir un enfant.
Kerem se rend compte que les espoirs de Yesim sont brisés et qu’elle a besoin d’un soutien moral. Il la propose de se rendre dans leur maison de vacances pour se détendre. Ils prennent donc la route avec Kerem au volant.
Kerem et Yesim sont heureux de faire ce voyage. Mais leur bonheur ne vont pas durer car un enfant saute soudain devant eux. Kerem perd le contrôle du véhicule et la voiture dégringole.
Kerem est gravement blessé mais survit, Mais Yesim et l’enfant meurent dans l’accident.
En plus de perdre sa femme qu’il aime tant, Kerem se sent responsable de la mort de L’enfant qui est venu devant sa voiture.
Il devient de plus en plus déprimer et ses souffrances ne font que commencer. Les chocs émotionnels se multiplient. Son âme est érodée par le sentiment de culpabilité et ce fardeau est bien trop dur à porter pour lui.
S’élevant au bord de l’effondrement émotionnel, perdant tout lien avec la réalité, Kerem s’enfonce dans l’abîme de sa misère et laisse ses peurs intérieures et ses démons de son âme malade se raviver et influencer sa vie.
Ainsi, en ce moment, mystiques, tristesse et irréalité entrent dans la vie de Kerem. Un monstre de l’autre monde commence à le pourchasser.
Kerem essaie de s’améliorer, mais cela ne fonctionne pas et il décide de s’isoler de son travail, de sa famille, de ses amis, essentiellement de tout le monde et de tout ce qui l’entoure.Pensant que le monstre est l’enfant qu’il a tué dans l’accident, exigeant vengeance, Kerem, submergé par la peur, décide de se rendre dans la petite ville d’Asos.
Mais son état continue à s’aggraver et les membres de sa famille décident de l’envoyer en « traitement » avec un guérisseur local vivant dans un village isolé.
Donc, ne pouvant pas retrouver la tranquillité et étant toujours tourmenté par ce démon, il va à la rencontre de mémé Zisan, la femme aveugle (Serif Sezer), le chaman qui veut l’aider à surmonter sa douleur. Avec le don de la clairvoyance et la capacité de communiquer avec l’autre monde, Mémé Zisan ouvre les yeux du Kerem à beaucoup de choses, surtout sur de nombreux détails de sa vie issus de son enfance.
Un détail intéressant des souvenirs de l’enfance de Kerem est alors révélé.
Il se souvient d’un méchant diabolique, au nom de Békir qui chassait de petits enfants. Adolescent, il tue ce pédophile méchant qui a torturé son meilleur ami, ainsi que beaucoup de jeunes enfants. Voyant l’échec de l’enquête, Kerem est passible de crime au nom de la justice.
Il découvre alors qu’il existait un lien fatal entre lui et le méchant. L’enfant décédé, victime accidentelle de Kerem et manquant du monde des vivants, a ouvert «un portail du limbe», libérant ainsi le méchant-démon, qui revendique sa revanche car il avait été exécuté par Kerem dans son adolescence. Quand il a compris que Bekir est après lui, il doit affronter les mauvais souvenirs de son enfance.
Sur ce point de l’histoire, une transformation de genre d’un drame psychologique avec des éléments de thriller à une horreur classique s’est produite. En réalité, la ligne entre eux est mince, mais elle existe.
Le monstre, nourri dans les profondeurs de l’âme de Kerem, devient incontrôlable. Plus les peurs et les souffrances de Kerem augmentent, plus le pouvoir du monstre se redresse. La seule façon pour lui est de gagner ses démons intérieurs et extérieurs.
On voit un certain symbolisme dans la lutte, qui est spécifique au film dans son ensemble. Mémé Zisan, qui représente le bien, donne sa vie au nom de la destruction du mal. En effet, la victoire sur le monstre signifie non seulement la liberté de Kerem, mais également la libération d’âmes d’enfants innocents, victimes de la créature infernale.
Après s’être débarrassé de ses monstres, habités dans son âme et sa réalité, Kerem commence à revoir la beauté de la vie.
La finale de l’histoire est optimiste. Ayant gagné ses démons intérieurs, Kerem refuse le côté obscur de son âme. Cela signifie qu’il forme la meilleure réalité. Il se pardonne, tue le monstre en lui-même; il tue un mal à l’extérieur, parce que tout est interconnecté.
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«La vie est partout!», Comme si elle résumait l’histoire de la femme de Kerem, Yeşim, qui le regarde depuis l’autre monde, mais dans un monde meilleur.
Cocuklar Sana Emanet est une histoire incroyable et fascinant. Il capte notre attention dès le début et reste dans le suspense et la curiosité jusqu’à la fin.Les performances d’Engin Akyürek dans le film est grandiose. Il a joué son rôle à la perfection sans la moindre exagération et nous faire ressentir tous ses états d’âmes qu’il a vécu dans ce voyage fantastique. nous pouvons ressentir toutes ses émotions, désespoir, sa souffrance, son chagrin, sa peur et son cauchemar. Engin Akyurek l’acteur qui donne toute l’énergie à son rôle et montre le caractère naturel. Il a spécialement utilisé son langage corporel, de son visage à son âme sans dire un mot! Avec ce travail, Engin démontre une fois de plus son indéniable professionnalisme.
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